dimanche 1 novembre 2009

LA VIE N'EST PAS UN COMBAT..... MAIS QUE POUR LS OBSTINÉS ET LES HAINEUX

Darwin dit - "Nous avons vu que les sens et les intuitions, les différentes émotions et facultés, comme l’amour et la mémoire, l’attention et la curiosité, l’imitation, la raison, etc, dont l’humain se vante, peuvent être trouvées à l’état naissant ou même pleinement développées, chez les animaux inférieurs. Les animaux, dont nous avons fait nos esclaves et que nous ne voulons pas considérer comme nos égaux."
Nous ne sommes plus à l'époque de l'homme des cavernes, ni dans des conditions de famines ou de survie: ÉVOLUONS, SORTONS DE LA VIE ANIMALE
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Ne faites rien contre votre conscience même si ls valeurs à la mode le permettent.
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Apprendre en s'amusant et rigolant: vous voulez faire rire le monde alors dites la vérité.... Pour arriver à solutionner il faut développer une vision globale (vue d'ensemble_


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H u m a n i t é


Pourquoi ne plantons-nous pas des VERGERS PARTOUT dans nos villes, en campagnes et même partout en forêts ???????? Ceux qui sont pour le capitalisme alors pourquoi plantent-ils des arbres stériles au lieu d'arbres fruitiers qui fructifieront et nourriront tout le monde ?

Voici enfin des vergers si rares à trouver sur Internet et partout
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Aie! les pauvres: les fils des bourgeois vous méprisent, ils vous taxent de parasites et de paresseux.... Et malgré cela, vous continuez de ramper.... C’est dégueulasse ce que la majorité d’entre nous est prêt à faire comme bassesses pour un emploi, un peu d’argent, pour payer le loyer, pour survivre...... Nous devenons des défenseurs d’un Système qui nous trahit.

Soldats, cadets,.... ne soyez plus des ''lèches-bottes'' !

La prostitution des citoyens qui s’offrent aux idéologies bourgeoises de la compétition et du mérite afin de survivre et/ou pour des privilèges..... des salauds .... Même les pauvres cachent leur pauvreté et méprisent les autres pauvres. Comme tous les pauvres espèrent un jour s'en sortir et devenir BOURGEOIS, alors ils endurent tout et disent que c'est la ''game'', que pour l'instant ils sont pauvres mais peut-être que plus tard ce sera eux qui seront riches.....


La guerre ''equity
L'ÉLITISME CRÉE SES PAUVRES QU'IL DÉNONCE sans se rendre compte qu'ils sont les conséquences de leurs idéologies antifraternelles.

D’ÉQUITERRE

à

É G A L I T E R R E

La Justice ne protège personne contre des idéologies antifraternelles

L’ÉQUITÉ C’EST L’ÉGOÏSME EN STRUCTURES

Belle morale et belle éthique sociale que de croire que les plus forts méritent plus que les plus doux et les plus raisonnables ; que les plus agressifs et les mieux syndiqués, que les réalistes-suiveux et les plus compétents méritent plus que les normaux de pourvoir aux besoins de leurs familles.

La CAUSE de bien des maux et de la Pauvreté : l'Élitisme et ses hiérarchies de revenus par l'Équité/Concurrence/Méritocratie.....

NOS MENTALITÈS et nos actions SONT LE FRUIT D’APPRIS ET DE CONDITIONNEMENTS SOCIAUX.


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À ces bourgeois égoïstes ....

A ceux qui sont petits

Est-ce ma faute à moi si vous n'êtes pas grands ?
Vous aimez les hiboux, les fouines, les tyrans,
Le mistral, le simoun, l'écueil, la lune rousse ;
Vous êtes Myrmidon que son néant courrouce ;
Hélas ! l'envie en vous creuse son puits sans fond,
Et je vous plains. Le plomb de votre style fond
Et coule sur les noms que dore un peu de gloire,
Et, tout en répandant sa triste lave noire,
Tâche d'être cuisant et ne peut qu'être lourd.
Tortueux, vous rampez après tout ce qui court ;
Votre oeil furieux suit les grands aigles véloces.
Vous reprochez leur taille et leur ombre aux colosses ;
On dit de vous : - Pygmée essaya, mais ne put.-
Qui haïra Chéops si ce n'est Lilliput ?
Le Parthénon vous blesse avec ses fiers pilastres ;
Vous êtes malheureux de la beauté des astres ;
Vous trouvez l'océan trop clair, trop noir, trop bleu ;
Vous détestez le ciel parce qu'il montre Dieu ;
Vous êtes mécontents que tout soit quelque chose ;
Hélas, vous n'êtes rien. Vous souffrez de la rose,
Du cygne, du printemps pas assez pluvieux.
Et ce qui rit vous mord. Vous êtes envieux
De voir voler la mouche et de voir le ver luire.
Dans votre jalousie acharnée à détruire
Vous comprenez quiconque aime, quiconque a foi,
Et même vous avez de la place pour moi !
Un brin d'herbe vous fait grincer s'il vous dépasse ;
Vous avez pour le monde auguste, pour l'espace,
Pour tout ce qu'on voit croître, éclairer, réchauffer,
L'infâme embrassement qui voudrait étouffer.
Vous avez juste autant de pitié que le glaive.
En regardant un champ vous maudissez la sève ;
L'arbre vous plaît à l'heure où la hache le fend ;
Vous avez quelque chose en vous qui vous défend
D'être bons, et la rage est votre rêverie.
Votre âme a froid par où la nôtre est attendrie ;
Vous avez la nausée où nous sentons l'aimant ;
Vous êtes monstrueux tout naturellement.
Vous grondez quand l'oiseau chante sous les grands ormes.
Quand la fleur, près de vous qui vous sentez difformes,
Est belle, vous croyez qu'elle le fait exprès.
Quel souffle vous auriez si l'étoile était près !
Vous croyez qu'en brillant la lumière vous blâme ;
Vous vous imaginez, en voyant une femme,
Que c'est pour vous narguer qu'elle prend un amant,
Et que le mois de mai vous verse méchamment
Son urne de rayons et d'encens sur la tête ;
Il vous semble qu'alors que les bois sont en fête,
Que l'herbe est embaumée et que les prés sont doux,
Heureux, frais, parfumés, charmants, c'est contre vous.
Vous criez : au secours ! quand le soleil se lève.
Vous exécrez sans but, sans choix, sans fin, sans trêve,
Sans effort, par instinct, pour mentir, pour trahir ;
Ce n'est pas un travail pour vous de tout haïr,
Fourmis, vous abhorrez l'immensité sans peine.
C'est votre joie impie, âcre, cynique, obscène.
Et vous souffrez. Car rien, hélas, n'est châtié
Autant que l'avorton, géant d'inimitié !
Si l'oeil pouvait plonger sous la voûte chétive
De votre crâne étroit qu'un instinct vil captive,
On y verrait l'énorme horizon de la nuit ;
Vous êtes ce qui bave, ignore, insulte et nuit ;
La montagne du mal est dans votre âme naine.

Plus le coeur est petit, plus il y tient de haine.

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