jeudi 12 août 2010

VIN ET CONTAMINATIONS AUX PESTICIDES MILLE FOIS PLUS ÉLEVEE .....

Comment déceler des produits nocifs libérés à l'état de traces indécelables dans un milieu ou un rejet ??????
voir l'image en taille réelle

Quand nos États font des attentats à l'arme BIO-chimique contre nous ...... En 1943 et 1944, Londres et les Etats-Unis d’Amérique avaient déjà étudié douze mille produits chimiques et en avaient sélectionné sept mille comme possibles armes de guerre… d’ailleurs, en 1945, un crime prémédité contre l’humanité est étudié en vue de détruire les rizières autour des grandes villes du Japon. Ces produits chimiques étaient les précurseurs des Agents chimiques utilisés au Viêt-nam.


Maladies liées à des nanoparticules lors de différentes voies d'exposition



Les maladies associées aux nanoparticules inhalées comprennent l'asthme, la bronchite, l'emphysème, le cancer du poumon et les maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson et la maladie d'Alzheimer.

Les nanoparticules passant dans le tractus gastro-intestinal se sont avérées liées à la maladie de Crohn et au cancer du côlon.

Les nanoparticules qui entrent dans le système circulatoire sont impliqués dans l'artériosclérose, la formation de caillots de sang, l'arythmie et les maladies cardiaques, et finalement la mort par maladie cardiaque.

Les nanoparticules entrent également dans d’entrer d'autres organes, tels que le foie, la rate, etc… et peuvent conduire à des pathologies de ces organes.

Certaines nanoparticules sont associées à des maladies auto-immunes, telles que le lupusérythémateux disséminé, la sclérodermie et l'arthrite rhumatoïde.



Teneur en oligo-él`éments du lait de vache

Ne défendons plus les rêves de ces États-Tueurs-en-Séries



Le lait et les produits laitiers jouent un rôle majeur dans l'alimentation des modernes, et c'est par cette voie que des malfaisants peuvent exécuter leurs Contrôles Démographiques entre autre


Il y a maintenant plus de 1.000 produits issus des nanotechnologies qui sont actuellement sur le marché, allant de la microélectronique aux cellules solaires photovoltaïques solaires, à la médecine, aux cosmétiques, aux vêtements, aux aliments et dans des produits pour l’agriculture [22]..

Les produits les plus nombreux contiennent des nanoparticules d'argent qui sont utilisées omme antibactérien dans les filtres pour les climatiseurs, dans les revêtements pour les réfrigérateurs, dans les emballages alimentaires, la vaisselle et les ustensiles de cuisine, les téléphones mobiles, les jouets pour bébés, les sucettes, les tasses et les gobelets, dans les dentifrices, les produits pour animaux domestiques, les vêtements, les serviettes de toilette et de bain, dans divers vaporisateurs, ainsi que dans des compléments alimentaires. Les nanoparticules utilisées dans les cosmétiques et les écrans solaires sont également fréquentes sous forme d’oxyde de titane et d'oxyde de zinc. L'oxyde de titane et les nano cristaux d'oxyde de silicium sont combinés avec des polymères organiques dans la lutte contre la saleté, dans les revêtements anti-graffitis [23, 24], ainsi que dans les pare-brise et sur d’autres surfaces ‘anti-salissantes’.


Une montre pour mesurer la pollution

Le bol alimentaire est une masse alimentaire mastiquée
ALCHIMIE pour faire accepter les substances impropres à la consommation humaine

detecteur-de-metaux.pro

Minéralisation par voie humide Méthiodes .électrochimiques trappes ioniques acides et oxydants

détection métaux

Les éco-indicateurs
Biomarqueurs, bioindicateurs et espèces sentinelles ...... Le biomarqueur est un paramètre biochimique mesuré dans un organisme animal ; par exemple les lésions à adn, la concentrations d'hormones, etc. On les mesure par des tests biochimiques ou histologiques. Le bioindicateur caractérise une pollution simplement par sa présence ou son absence dans l'environnement considéré. Enfin l'espèce sentinelle est une espèce végétale ou animale qui va être modifiée lorsqu'il y a pollution. Par exemple certains végétaux auront des tâches blanches sur leur feuilles lorsqu'il y a pollution.

Votre intérieur est rempli de polluants domestiques en tout genre que vous respirez sans vous en rendre compte à longueur de journée. Ils proviennent de vos produits d’entretien (si il ne sont pas écologiques), de vos revêtements de murs ou de sols, d’émanation des peintures, des lasures

On retrouve donc du formaldéhyde, de l’ammoniac, et autres types de composés organiques volatiles (COV).

Heureusement Dame Nature est bien faite et des plantes dépolluantes existent pour lutter contre cette pollution domestique.


Les plantes bioindicateurs sont des espèces très sensibles aux polluants
Des plantes pour lutter contre la pollution intérieure

Selon une étude récente publiée par l’Université de Géorgie (Etats-Unis) dans le numéro d'août 2009 de la revue HortScience, certaines plantes auraient la capacité d’assainir l’air intérieur en réduisant sensiblement la teneur en composés organiques volatils (COV) nocifs comme le benzène qui, rappelons-le, peut provoquer de nombreuses maladies y compris l'asthme, le cancer, ou des troubles neurologiques.

es chercheurs de l’université de Géorgie ont mené une étude sur la capacité de certaines plantes à dépolluer l’air ambiant. Parmi les 28 plantes testées, 5 plantes ornementales se sont distinguées par leur haute capacité à éliminer plusieurs COV ménagers courants. Il s’agit de la misère pourpre (Tradescantia pallida), du lierre anglais (Hedera Helix), de l’asperge de Spenger (Asparagus densiflorus), de l'Hemigraphis alternata et de l'Hoya carnosa.


L’action neutralisante de ces plantes serait particulièrement utile contre le benzène et le toluène (revêtements intérieurs, fumée de tabac), l’octane (peinture, adhésifs, matériaux de construction), l’alpha-pinène (peintures synthétiques, parfums d’ambiance) et le TCE (eau du robinet, insecticides, produits de nettoyage).

On peut par exemple citer le figuier pleureur, le dragonnier, le chrystanthème et bien d’autres encore !

Les produits chimiques utilisés pour l'entretien de la maison (produits ménagers, peintures...) peuvent faire apparaître des allergies. Pour diminuer ce risque, il y a une arme fatale : les plantes vertes ! Des spécialistes sont persuadés que les plantes sont capables d'absorber les molécules chimiques dangereux pour l'Homme comme l'ammoniaque, le toluène... Ces plantes sont en vente dans la plupart des jardineries. Alors courrez-y et décorez votre maison avec des plantes...vertes !
Des preuves
Ce qu'absorbent les plantes vertes :
  • AGLAONEMA : 48% du benzène 92% du toluène
  • SINDAPSUS OU POTHOS (Lierre du Diable) : 73% du benzène,75% du monoxyde de carbone
  • CHAMEDORA (Palmier d'appartement) : 50% du formaldéhyde, 18% du trichloréthylène
  • CHLOROPHYTUM (commun) : 86% du formaldéhyde, 96% du monoxyde de carbone
  • MINISCHEFFLERA : 41 % du formaldéhyde
  • SANSEVERIA (Langue de Belle-Mère) : 53% du benzène,13% du Trichloréthylène
  • LIERRE COMMUN : 90% du benzène, 11 % du trichloréthylène
  • DRACEANA WAENECKII : 70% du benzène, 50% du formaldéhyde, 24% du trichloréthylène
  • PHILODENDRON : 86% du formaldéhyde
  • SPATHIPHYLLUM : 80% du benzène, 50% du formaldéhyde, 50% du trichloréthylène
  • DRACEANA MASSANGEANA : 70% du formaldéhyde
  • FICUS BENJAMINA : 47% du formaldéhyde
  • ALOE VERA : 90% du formaldéhyde
  • DRACEANA MARGINATA : 79% du benzène , 60% du formaldéhyde , 13% du trichloréthylène
L'air intérieur des maisons et des bureaux est souvent une source concentrée de polluants, qui serait 5 à 10 fois plus pollué que l’air extérieur, selon l’UFC-Que Choisir. Il a été montré que l'exposition à différents COV dans les espaces intérieurs pourrait provoquer des maladies chroniques comme des cancers, des troubles de la reproduction, neurologiques ou respiratoires. La dépollution par les plantes, autrement appelée phytoremédiation, est peut-être une piste à explorer pour améliorer de manière significative la qualité de l’air intérieur.

Assainir l'air de sa maison par les plantes .....


On résume souvent les appartements ou maisons accueillants comme ayant de « bonnes ondes ». S’il s’agit d’une manière de parler, il est possible d’optimiser son habitat pour faire en sorte de diminuer les « ondes négatives » qui émanent de nos, plus en plus nombreux, appareils électroniques. Les plantes, d’ores et déjà plébiscitées pour leurs vertus curatives, utilisées en cosmétique et en médecine, n’ont pas besoin de transformation pour offrir leurs bienfaits. Eléments de décoration intérieure, les plantes vertes regorgent de vertus insoupçonnées… Certaines plantes ont en effet, la capacité de dépolluer l’air intérieur.

Contrairement à ce que l’on pourrai croire les plantes dépolluantes ne sont pas des plantes introuvables, rares bien au contraire ce sont des plantes dites courantes mais en fait la plupart des plantes peuvent faire l’affaire. Voici tout de même les plantes ayant les meilleures vertus dépolluantes



Un cactus contre les ondes des ordinateurs

Nos maisons et appartements sont de plus en plus envahis par nos équipements électroménagers et électroniques (télévision, ordinateurs…) qui investissent désormais toutes les pièces de nos maisons.
Le fonctionnement de ces appareils suscite une pollution électromagnétique qui contribue à la pollution intérieure de nos maisons et à laquelle nous sommes tous exposés. Pour tenter de les combattre, du moins, diminuer l’impact que ces ondes peuvent avoir sur nous (maux de tête, agressivité, perte de vitalité, douleurs thoraciques…) , les plantes viennent à notre secours. Une en particulier, le cereus peruvianus (cierge du Pérou). Ce cactus n’est pas le plus esthétique mais apparemment le plus efficace pour lutter contre les ondes électromagnétiques de nos ordinateurs.

Placé près de l’écran d’ordinateur le cactus cereus peruvianus à la faculté d’absorber 25% des ondes émises par l’installation informatique. Afin de prouver ce phénomène, des études ont été menées grâce au biomètre de Bovis qui permet de mesurer, que dans une pièce saine, il y a une vibration de 8000 bovis, qui chute à 3000 lorsque fonctionne un ordinateur ou une télévision. Installer le cactus permet de rétablir les 8000 bovis nécessaires au bien-être dans la maison. Pour tester de son efficacité, ce cactus est à placé près des écrans d’ordinateurs et de télévision. Pour ceux n’étant pas convaincu de ses vertus, le cactus reste un sympathique élément de décoration pour son bureau et ne demande que très peu d’entretien.

Le ficus benjamina

Plante verte d’intérieure par excellence, le ficus permet d’absorber le formol que l’on retrouve dans bon nombre de produits présents dans l’habitat (colles, vernis, mousses isolantes…). Le ficus neutralise le formaldéhyde qui peut être présent dans les mousses d’isolation, la colle de moquette, les vêtements nettoyés à sec et les cosmétiques notamment.

L’aloe vera
Plante aux feuilles épineuses depuis longtemps appréciée en cosmétique, l’aloe vera est aussi un excellent remède contre le formol. Cette plante détruit 90% du formol que l’on peut trouver dans l’air de sa maison.

L’azalée (ou rhododendron)

Cette fleur en provenance d’Asie du sud est un excellent remède contre l’ammoniac que l’on retrouve principalement dans les produits de nettoyage et dans les produits de vaisselle et les dégraissants....

Le lierre

Cette plante est votre meilleur allié contre le benzène présent dans les colles, vernis, isolants… Le lierre neutralise 90 % des rejets de benzène dans les pièces où il est placé. Le benzène est un solvant fréquent dans les peintures, encres, matières plastiques, caoutchouc, détergents et la fumée de cigarette.

Le philodendron

Cette plante aux larges feuilles capture le pentachlorophénol, (PCP) que dégage le bois traité. Le philodendron est aussi très utile pour limiter la sécheresse de l’air, souvent occasionnée par le chauffage, en augmentant le taux d’humidité de la pièce. Le philodendron : contre le pentachlorophémol (PC), un fongicide présent dans les produits de traitement du bois. Le philodendron en absorbe une grande partie, mais il neutralise aussi le formaldéhyde. Ses grandes feuilles dégagent beaucoup de vapeur d’eau et aide donc à humidifier l’atmosphère.

La sansevière supprime la fumée de tabac.

Le chlorophytum

C’est la plante idéale pour les personnes désireuses de purifier l’air de leur maison car le chlorophytum ingère 96 % des émissions de monoxyde de carbone présentes dans l’air de votre logement et supprime aussi le formol.

Cette liste n’est pas exhaustive car chaque plante recèle son lot de bienfaits pour la santé.
Les plantes ci-dessus présentées sont d’une part, les plus familières et les plus efficaces dans la lutte contre la pollution de l’air intérieur de nos maisons.


Le chrysanthème est utile contre le trichloréthylène, une substance utilisée dans les peintures et les solvants.

Une plante traite efficacement l’air de 9m², à vous d’estimer maintenant quelles plantes vont venir égayer et assainir votre intérieur.



Les plantes peuvent donc convertir les émanations toxiques en les acheminant jusqu’à leurs racines où celles-ci sont détruites par les micro-organismes de la terre. Pour que l’efficacité soit au maximum il est essentiel que l’air circule bien au niveau des racines et que les plantes restent toujours bien humidifiées car ainsi l’air y passera plus facilement et la dépollution sera beaucoup plus efficace. Car il faut savoir que plus une plante consomme d'eau plus elle génère d'humidité et plus elle est à même d'éliminer des polluants.








Codex Alimentarius

La Commission du Codex Alimentarius a été créée en 1963 par la FAO et l'OMS afin
d'élaborer des normes alimentaires, des lignes directrices et d'autres textes, tels que des
Codes d'usages, dans le cadre du Programme mixte FAO/OMS sur les normes
alimentaires. ??????? Les buts principaux de ce programme sont la protection de la santé des
consommateurs, la promotion de pratiques loyales dans le commerce des aliments et la
coordination de tous les travaux de normalisation ayant trait aux aliments entrepris par
des organisations aussi bien gouvernementales que non gouvernementales… ??????? la sécurité des consommateurs.... ou la santé publique

« Une boîte quantique (appelée aussi point quantique ou encore par son appellation anglophone "quantum dot") est un nanocristal de matériau semi-conducteur dont les dimensions sont inférieures à 10 nm. De par sa taille, il se comporte comme un puits de potentiel qui confine les électrons dans trois dimensions de l'espace, dans une région d'une taille de l'ordre de la longueur d'onde des électrons selon de Broglie, soit quelques nanomètres dans un semi-conducteur. Ce confinement donne aux boîtes quantiques des propriétés proches de celles d'un atome. En 2010, les points quantiques sont à la pointe de la recherche dans le domaine des semi-conducteurs, notamment concernant les transistors, LEDs, cellules photovoltaïques et diodes laser.

NADPH Oxydases
Les NADPH Oxydases sont responsables de l’augmentation soudaine de l’oxydation qui a
été observée en réponse à une attaque pathogène. Elles produisent des espèces
réactives de l’oxygène qui utilisent NADH et NADPH comme substrats. L’enzyme de la
plante possède 70% d’homologie avec la sous-unité catalytique de la NADPH oxydase humaine localisée dans la membrane plasmique des macrophages. Il manque néanmoins les 5 sous-unités supplémentaires qui sont obligatoires pour l’activation de l’enzyme humaine. C’est pour cette raison que l’enzyme de la plante est un bon candidat pour étudier la biochimie en détail.

Chez Arabidopsis plus de 10 gènes homologues à la NADPH oxydase du phagocyte ont été trouvés (ils sont appelés activateurs homologues Atrboh A-J). Quatre de ces gènes sont exprimés pendant l’attaque pathogène alors que AtrbohC semble être impliqué dans les processus du développement.
Selon notre hypothèse, les espèces réactives de l’oxygène, spécialement les radicaux hydroxyles, jouent un rôle important dans l’étirement des parois cellulaires. Ces radicaux hydroxyles sont produits dans l’apoplaste à partir de peroxyde d’hydrogène et de superoxide qui sont produits par la NADPH oxydase. Des données préliminaires montrent que la NADPH oxydase est présente dans la zone de croissance de pousses et des racines. Le but du projet est d’isoler la NADPH oxydase des tissus en croissance, de caractériser leurs propriétés biochimiques en détail et de comprendre leur rôle dans la fonction de croissance, spécialement dans l’affaiblissement des parois cellulaires, qui est un pré-requis pour l’élongation des cellules dans la plante. Il n’y a pratiquement aucune donnée biochimique valable pour cette enzyme. La caractérisation de l’activité de cette enzyme promet d’apporter des contributions importantes dans la compréhension des propriétés redox et des fonctions de la membrane plasmique des plantes jusqu’à maintenant largement inconnues ».


Les points quantiques, quantum dots en anglais, sont des semi-conducteursnanométriques qui génèrent des paires d’électron-trou confinées dans les troisdimensions (confinement quantique), et qui peuvent donc se comporter comme desmolécules géantes en vrac plutôt que comme des semi-conducteurs [17]. Ils ont trouvéde nombreuses applications dans les diodes lectroluminescentes, les transistors, lespanneaux solaires, etc, et sont également développés pour l'administration demédicaments, la thérapie contre le cancer et l'imagerie cellulaire.

Malheureusement, la plupart des boîtes quantiques contiennent des métaux très toxiques comme le cadmium, qui tendent à être libérés lorsque les quantum dots pénétrent dans les cellules ou dans les organismes vivants. Cela a été considéré comme la principale raison pour laquelle les quantum dots de CdSe / ZnSe à des concentrations nanomolaires (10-9 mol) étaient toxiques pour la daphnie, Daphnia magna, mais beaucoup moins toxique qu’une concentration équivalente en ions cadmium [18]. Toutefois, les quantum dots de CdTe, enduits de thioglycolate de sodium hydrophile, ont provoqué des perturbations dans une culture mono couche des cellules intestinales humaines de type Caco-2, et une mortalité à la dose de 0,1 ppm, ce qui laisse à penser que cela peut être provoqué par les quantum dots, plutôt que par le cadmium lui-même
[19].

L'exposition aux nanoparticules présente des caractéristiques qui n’ont jamais été rencontrées au cours de l'évolution (et dans des concentrations croissantes et d’une grande variété) ; elle peut tout à fait poser un défi pour les mécanismes de défense normaux qui sont associés avec les systèmes immunitaires et inflammatoires. En particulier, l'évaluation de la sécurité des nanoparticules et des nanostructures ne peut pas compter sur le profil toxicologique et écotoxicologique des matériaux et matières brutes à partir desquels les études avaient été réalisées et déterminées historiquement.


Nanotoxicité : un vide dans la réglementation espèces réactives de l'oxygène



l existe des plantes qui peuvent nous aider en agissant comme BIO-DÉTECTEURS DE PRODUITS NOCIFS..... Car si ces plantes sensibles aux produits nocifs se mettent à dépérir alors vous avez l'indication que l'environnement dans lequye vous vivez est intoxiqué se substances nocives..... Voyons quelles sont ces plantes que vous pourriez vous procurer et qui agiront comme SYSTÈME D'ALARME aux ondes malsaines, aux hyperfréquences dangereuses, aux vapeurs et poisons dans l'air tels des métaux dangereux (cadmium, mercure....)

Propriétés de bio-indicateurs des plantes .... Certains végétaux ont la propriété de réagir aux modifications de leur environnement. Ces bio-indicateurs sont depuis plusieurs années utilisés pour mesurer la pollution de l'air, de l'eau ou des terres.

Par exemples ..... ------- Le lichen par exemple est un bio-indicateur efficace de certaines pollutions de l'air dans une forêt ou une ville. --------- La petite oseille (Rumex acetosella) indique des sols très pauvres en argile et en humus, très secs, très peu fertiles alors que la grande oseille (Rumex acetosa) indique des sols équilibrés, très fertiles -------- Les lichens (organisme résultant d'une symbiose algue-champignon) se développent sur divers substrats (sol, écorces, toits, pierres, etc). Ils réagissent à des doses très faibles de certains polluants (acides notamment) bien avant les animaux et bien avant que les pierres des monuments ne soient dégradées. -------- En forêt, la disparition des lichens peut indiquer des taux élevés de dioxyde de soufre, la présence de fongicides dans la pluie, ou de polluants à base de soufre et d'azote. ------- Le trèfle et le tabac permettent de qualifier et quantifier la teneur de l'air en ozone. --------

bios-stations ......pourront servir pour la bioévaluation environnementale

L'être humain comme bioindicateur ? L’homme, le spermatozoïde, la fertilité humaine, la durée moyenne de vie, ou le taux de cancers (et leur nature) ou d'autres maladies peuvent faire partie des batteries d'indicateurs évaluant l'état de l'Environnement. Ce sont les « intégrateurs naturels » les plus objectifs d'un état environnemental, et donc des impacts des activités humaines combinés à d’éventuels aléas bio-géo-climatiques naturels... (ce qui les rend éventuellement plus facilement contestables)




DANGERS
Qu’y a-t-il de nouveau en matière de risques avec les nanoparticules ? C'est
que beaucoup d'entre elles sont chimiquement inertes comme des ions ordinaires ou homme des particules plus grosses (et qui n’ont donc jamais eu à passer par l'approbation réglementaire avant que ces nanoparticules be furent utilisés), mais dès que la taille des particules atteignent des dimensions nanométriques, ells acquièrent de nouvelles propriétés physico-chimiques, provoquant un stress oxydatif et la rupture de l'ADN, et elles peuvent avoir accès à toutes les parties du corps, y compris le cerveau, par inhalation et par le nerf olfactif.

Vins et pesticides*

François Veillerette , président du Mouvement pour le Droit et le Respect des Générations Futures (MDRGF) et administrateur du réseau Pesticide Action Network Europe (PAN Europe), l'affirme : le vin est contaminé par des résidus de pesticides à des doses 1000 fois plus élevées que celles tolérées pour l'eau du robinet.




Conclusion

La population mondiale augmente chaque année de 86 millions de personnes alors qu'on pourrait nourrir 100 fois plus de gens avec la technologie actuelle..... mais ..... tant qu'on ne saure pas ni ne voudra partager on continuera de créer la majorité pauvre pour perdurer les hiérarchies d'égoistes .......ON PARLE DE ''SURPOPULATION'' LORSQU'ON NE VEUT PAS PARATAGER

Que trouve-t-on dans le méconium, cette substance qui s'accumule dans l'intestin du foetus pour former les premières selles du nourrisson? Des pesticides - lindane, chlordane, malathion, DDT... - dont certains ne sont plus utilisés depuis des années mais restent bien présents dans notre organisme. Une étude menée en 1998 en Australie a mis en évidence la présence de trois pesticides en moyenne dans le méconium d'une cinquantaine de bébés, en quelque sorte contaminés avant la naissance. Une étude parmi plus de 300 répertoriées dans le livre de François Veillerette, "Pesticides, le piège se referme". "Si on n'a rien trouvé chez les bébés français, c'est simplement parce que l'on n'a pas cherché", a remarqué François Veillerette lors de la présentation jeudi de son livre. Fort peu d'études sur les pesticides et leurs effets sur la santé sont en effet conduites en France.




Il y a clairement un besoin urgent non seulement d'endiguer, mais aussi d’inverser la tendance anarchique des nanoparticules qui sont mises sur le marché. Compte tenu des preuves existantes, les actions suivantes devraient être entreprises.

• Les nanoproduits fabriqués pour des ingrédients dans les aliments, les cosmétiques et les produits pour les enfants, et pour lesquels les données de toxicité existent déjà (par exemple, l'argent, l’oxyde de titane, les fullerènes, etc) doivent être immédiatement retirés du commerce.
• Un moratoire devrait être imposé sur la commercialisation des nano-produits jusqu'à ce qu'ils été démontrés et prouvés comme inoffensifs, sûrs et non toxiques.

• Tous les produits de consommation contenant des nanotechnologies devraient être clairement étiquetés.• La Direction générale de la Santé et de la Protection des Consommateurs (DG SANCO) de la Commission européenne, devrait exiger des fabricants des nanoproduits qu’ils fassent enregistrer leurs produits dans une base de données qui serait accessible par le public sur le site Internet SANCO [12]

• Le code de conduite volontaire pour la recherche sur les nanotechnologies que la Commission Européenne a adopté en 2008, devrait devenir obligatoire [12].

• Les activités de recherche sur les nanotechnologies doivent être rendues compréhensibles pour le public et interprétées d'une manière transparente, responsable, sûre et durable, et ne pas constituer de menaces ou dangers pour l'environnement

• Un programme de réglementation rigoureux sur les nanotechnologies - y compris la caractérisation et la normalisation des fabrications - devrait être mis en oeuvre dès que possible.
• Il devrait y avoir des fonds qui soient affectés à la recherche sur les dangers et les risques des nanotechnologies.

SOLUTIONS


Les polluants que nous respirons quotidiennement et leurs différentes sources. Les solutions pour limiter les émanations. Comment nettoyer très simplement l'air intérieur grâce au pouvoir dépolluant des plantes.


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