VOL DES TERRES PAR LES BRITANNIQUES POUR LEURS CULTURES FOLLES DE BIO-GAZ

Un ami, Patrick B., m'a envoyé un e-mail rempli des informations suivantes que je vous partage avec ma touche personnelle. Vous aussi envoyez-moi par e-mail des informations pour que je les mette dans des blogs et ainsi les partager au Monde Entier.

Voici un exemple des Organismes Britanniques qui tuent au nom du Réchauffement Climatique qu'ils créent sciemment et militairement ....

Les troupes armées Burn Down Homes, tuent des enfants pour expulser les Ougandais au nom de Global Warming

Le néo-coloniale accaparement des terres réalisées pour le compte de la Banque mondiale soutenue par la société britannique

Paul Joseph Watson
Infowars.com
Friday, 23 Septembre, 2011

Les troupes armées agissant pour le compte d'une société de négoce de carbone britanniques soutenus par la Banque mondiale ont brûlé des maisons au sol et tué des enfants pour expulser les Ougandais de leurs maisons dans le nom de terre saisir pour se protéger contre «réchauffement climatique», une illustration choquante de la façon dont le con changement climatique est une forme barbare de néo-colonialisme.

Les expulsions ont été commandés par la Compagnie New Forests, une entreprise qui s'empare des terres en Afrique pour cultiver des arbres et les vendre ensuite sous le prétexte des «crédits carbone» à des sociétés transnationales. La société est soutenue par la Banque mondiale et HSBC. Son conseil d'administration comprend le Directeur Général Sajjad Sabour de la HSBC , ainsi que d'autres anciens banquiers d'investissement de la Goldman Sachs.

La société prétend résider pacifiquement au Kicucula et «volontaire», et pourtant les gens racontent une histoire de terreur et de sang.

Les villageois ont raconté que des forces armés jouant à la sécurité ont fait irruption dans leur village et ont incendié des maisons, brûlant un enfant de huit ans à la mort comme ils ont menacé de quiconque assassiner qui ont résisté, tout en battant d'autres.

«Nous étions à l'église", a rappelé Jean-Marie Tushabe, 26 ans, père de deux enfants. "J'ai entendu de nombreux sons de balles."

«Des voitures sont arrivées avec la police", a déclaré M. Tushabe, assis parmi les ruines de son ancienne maison. "Ils se sont dirigés directement à la maison. Ils ont pris nos assiettes, des tasses, des matelas, un lit, des oreillers. Puis nous avons vu sortir une boîte d'allumettes de sa poche. "

"Mais dans ce cas, le gouvernement et la compagnie ont déclaré que les colons étaient illégaux et devaient être expulsés pour une bonne cause: pour protéger l'environnement et aider à lutter contre le réchauffement mondial", rapporte le New York Times .

Un rapport du document d'Oxfam affirme que les britanniques ont travaillé avec le gouvernement ougandais afin d'expulser de force plus de 20.000 personnes à quitter leurs maisons en utilisant la terreur et la violence dans le cadre d'une bousculade lucrative pour les terres arabes qui peuvent être utilisés pour satisfaire les multi-milliards de dollars d'échange de carbone Ponzi régime, qui vaut 1,8 million de dollars par an à l'entreprise.

«Je ne possèdent pas de terres. Il est impossible de nourrir mes enfants - ils ont tant souffert. Ils Ils n'ont plus rien à manger. Quand les gens ne peuvent pas bien manger leurs corps deviennent faibles - il y a eu beaucoup de cas de paludisme et de diarrhée. Certains jours, nous ne mange rien du tout », a déclaré l'ancien agriculteur Francis Longoli , dont la terre a été volée pour créer de nouvelles forêts.

Comme nous l'avons déjà documenté, la menace fabriquée par l'homme du réchauffement climatique est utilisée comme un outil du néo-colonialisme britanno-franco.... dans le tiers monde, non seulement par la confiscation des terres et des infrastructures, ce qui empêche les pays pauvres d'utiliser leurs ressources pour développer , mais pour littéralement affamer lespauvres gens à la mort.

Nos Armées ne sont que des façades pour criminellement dépeupler..... L'alarmisme changement climatique et l'application des politiques du réchauffement climatique est un crime de la nature la plus élevée, car il est déjà un impact génocidaire dans des pays comme Haïti, où le doublement des prix alimentaires se traduit par une augmentation substantielle de la famine, la pauvreté et la mort, avec la population étant forcés de vivre sur des pâtés de sable.
Comme un rapport du National Geographic a confirmé : «Avec la hausse des prix alimentaires, les plus pauvres d'Haïti ne peuvent pas se permettre même une plaque quotidienne de riz, et certains doivent prendre des mesures désespérées pour remplir leurs ventres," par "la boue de manger», en partie comme une conséquence de " la demande mondiale croissante pour les biocarburants. "

N'oublions jamais ce que le prince (des fous) Philip, mari de la reine Élisabeth 11 a déjà dit:

Mais ils agissent encore comme des animaux

En avril 2008, le président Robert Zoellick de la Banque mondiale a admis que les biocarburants sont un «facteur important» à la flambée des prix alimentaires qui ont conduit à ce que des pauvres meurent de faim en raison des biocarburants qui dominent qui monopolisent les terres qui seraient normalement utilisées pour la production d'aliments à la consommation humaine.

Même George Monbiot qui défent la cause du réchauffement climatique admet que la promotion des biocarburants "est à l'origine de famine dans les pays pauvres," en particulier dans le Swaziland, où la décision d'allouer plusieurs milliers d'hectares de terres agricoles à la production d'éthanol en dépit des besoins vitaux des gens du pays et qui sont sous l'emprise d'une famine a été étiqueté de «crime contre l'humanité» par Jean Ziegler, rapporteur spécial de l'ONU.

Mais ce n'est pas seulement les biocarburants, un produit de l'alarmisme du réchauffement climatique, qui sont déclenchant un génocide contre les populations noires dans les pays pauvres, c'est l'ensemble anti-développement mantra adopté par les militants du changement climatique qui est exécutée par des organisations supranationales comme la Banque mondiale et le FMI dans le nom de la réduction du dioxyde de carbone, le mal qui donne la vie à gaz que les plantes respirent et les humains expirez.

En effet, les pays pauvres ont rejeté l'accord de Copenhague 2009, précisément parce qu'il discriminait les nations du tiers monde .

En outre, l'administration d'Obama, fermement soutenu par Al Gore, l'année dernière a ordonné à la Banque mondiale de garder «en développement» des pays sous-développés en les bloquant de la construction de centrales électriques au charbon, en s'assurant que les pays pauvres restent pauvres.

En empêchant les pays pauvres de devenir autosuffisants en les bloquant de produire leur propre énergie, l'administration Obama s'assurer que des millions d'autres vont mourir de faim et de manque d'accès aux hôpitaux et aux traitements médicaux.

Alors que les gauchistes écologistes ignorants prêchent toute la journée sur les effets du réchauffement climatique ayant le plus d'impact sur les pays pauvres, c'est en fait les pays pauvres et leurs populations qui souffrent le plus de l'alarmisme du réchauffement climatique, et les prédateurs, comme le banquier soutenu par la société New Forests .

La saisie des terres arables dans le nom de «réchauffement planétaire» est en passe de devenir les grandes entreprises, ce qui explique pourquoi l' Organisation des Nations Unies a récemment annoncé qu'elle se prépare à déployer une armée de casqués verte "casques bleus du climat" d'intervenir dans les pays pauvres à protéger "la diminution des ressources".

Les sociétés transnationales, dans la ligue avec les gouvernements occidentaux et les banques offshore, se sont emparés de l'escroquerie du changement climatique pour mener à bien les politiques génocidaires et l'accaparement des terres dans la poursuite de la vente des crédits carbone à d'autres sociétés transnationales qui ont alors simplement répercuter le coût pour le consommateur.

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Paul Joseph Watson est l'éditeur et écrivain pour Planet.com prison . Il est l'auteur de l'ordre dans le chaos. Watson est également un habitué fill-in d'hôte pour le salon de Alex Jones.

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Autre exemple du néocolonialisme Britannique

L'organisation caritative britannique Oxfam a publié un nouveau rapport détaillant les expulsions forcées de personnes provenant de forêts en Ouganda pour faire place à une entreprise de bois britannique.

Rapport d'Oxfam affirmant les milliers d'expulsées au Land Grab en Ouganda

Oxfam affirme que, entre 2006 et 2010, plus de 22.000 personnes ont été expulsées dans le Kiboga et districts Mubende du centre de l'Ouganda dans le cadre d'un «accaparement des terres" par la Société Nouvelle des forêts

NÉOCOLONIALISME BRITANNIQUE

«Alors, quand nous avons parlé aux gens et nous avons interviewé des personnes qui avaient été expulsés, leurs histoires étaient absolument cohérente, et absolument sans relâche", a déclaré Grainger. "Ils avaient été forcés de quitter leurs maisons, ils ont perdu leurs maisons, leurs récoltes avaient été détruits, ils ne pouvaient pas prendre leurs biens, leurs maisons ont été incendiées et ils ont été laissés avec rien. "

La société New Forests est une société britannique basée sur la foresterie durable

Oxfam affirme que l'accaparement des terres est un problème mondial, et il y a des rapports de cas semblables au Sud-Soudan, en Indonésie et en Amérique centrale. Le groupe affirme que le problème est aggravé par la demande croissante de terres bon marché pour produire des cultures qui peuvent être utilisés pour fabriquer des biocarburants.


Une femme expulsée a fait preuve de propriété des terres de sa famille.

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